Au cœur de la bête

« Voie étroite, en écrivant, entre la réhabilitation d’un mode de vie considéré comme inférieur, et la dénonciation de l’aliénation qui l’accompagne. » Annie Ernaux, La Place

Dans l’usine de la campagne voisine, des personnes vivent et des bêtes meurent les unes contre les autres. Par moments leurs poils ou leurs yeux s’emmêlent plus que prévu et traversent les frontières établies entre les individus et les espèces.

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